Il n’y a pas mieux que Ghislaine Gouby, la Directrice émérite de Scènes du Golfe et des Emancipéés pour intelligemment définir l’âme de ce festival iconoclaste : “Dans chaque chanson, il y a de l’écriture et dans chaque écriture, il y a de la musique”. En effet, rarement un festival aura marié l’art des lettres et des sons comme autant de mélodies du cœur offertes à un public toujours plus nombreux. Indépendamment du fait d’avoir été invités à faire partie de l’affiche de cette nouvelle édition avec une exposition photos JSM exclusive, nous avons été les spectateurs privilégiés de ce festival pas comme les autres. Déjà par sa taille, humaine avant tout, et paradoxalement par sa richesse culturelle, son exigence, son excellence, son audace, sa prise de risque, sa qualité qui passe par les mots et la musique, par la mise en scène et ses propos. Cette année, l’affiche nous a proposé une palette assez exceptionnelle de ce que la culture française a de meilleur à offrir : des lectures, du théâtre, des concerts, des confidences, des rires et des larmes, des découvertes et des idoles avec pour dénominateur commun celui d’offrir au festival l’exclusivité la primeur de leur proposition. Jour après jour, voici un panorama de ces ravissements permanents…
À la rédaction de JE SUIS MUSIQUE, comme dans toutes les rédactions, les goûts et les couleurs divergent parfois et c’est ce qui en fait toute la richesse … Mais s’il y a bien un dénominateur commun à nos Panthéon respectifs, et sans doute aussi le vôtre, c’est la passion et l’amour que nous portons aux chanteuses, à toutes les chanteuses ou presque, toutes générations confondues… Et il faut bien reconnaitre que nous sommes privilégiés d’avoir en France une chanson féminine d’une incroyable diversité et d’une grande qualité. Si bien qu’en ce début d’année, nous avons choisi de leur consacrer 100% de ce spécial, un numéro «Exclusivement féminin », comme le chantait l’une d’entre-elles et non la moindre, l’immense Véronique Sanson.
Alors difficile de consacrer des articles à toutes celles qui nous font vibrer, et dont beaucoup d’ailleurs ont déjà fait la « une » de votre mag’ digital, de Clara Luciani, à Juliette Armanet, Jane Birkin, La Grande Sophie, Zazie, Carla Bruni ou Angèle. Mais sachez que nous les chérissons et les portons toutes en nos coeurs, et que les absentes sont ici vaillamment représentées par leurs consœurs !
À commencer par Jeanne Cherhal, devenue en près de 20 ans de carrière, une des figures incontournables de cette chanson au féminin : à l’occasion de son spectacle consacré aux grandes musiques du 7ème art, elle nous a fait l’amitié de parler cinéma, et surtout de prendre la pose en toute simplicité et en exclusivité pour nous, devant l’objectif de la grande Delphine Ghosarossian, une des rares femmes photographes dans ce milieu, dont on aime tant le regard si doux, si bienveillant, si féminin en somme… Elle a tout d’une grande, Jeanne, et nous sommes très fiers de lui consacrer enfin cette couverture qu’elle mérite !
Histoire de prolonger le voyage dans les salles obscures, nous avons suivi Charlotte Gainsbourg lors de ses avant-premières parisiennes du film « Jane by Charlotte », consacré à sa légendaire maman. À cette occasion, nous avons retracé pour vous la carrière parfaite de l’actrice, dont les choix de films ont souvent tissé – de près ou de loin – de jolis liens avec le monde de la musique, de « Paroles et musique », à « Charlotte For Ever » ou « L’un reste, l’autre part ». En bonus, une reportage photo exclusif de la star, toujours aussi naturelle, touchante, sincère et investie dans tout ce qu’elle fait…
De cinéma, il sera encore probablement question dans « Dabadie, ou les choses de nos vies », le spectacle que joueront cette année Emmanuel Noblet, Maissiat et Clarika, et consacré à l’oeuvre de Jean-Loup Dabadie, monumental scénariste et auteur de chansons, dont l’hymne « Femmes, je vous aime », est sans doute la plus belle déclaration d’amour jamais chantée pour vous, mesdames… En pleine préparation de son prochain album, notre amie Clarika a surmonté sa pudeur et sa discrétion naturelles, et s’est amusée à nous ouvrir son vestiaire, pour l’interview « Déshabillez-vous »…
Autre génération, autre grand nom : Sheila est l’invitée de notre « questionnaire de Proust » ! La star qui s’apprête à vivre une grande année, avec la célébration de ses 60 ans de carrière, s’y est prêtée avec franchise, humour et sensibilité. Quant à Sylvie Vartan, autre icône des années Yéyé, dont on attend la sortie du DVD Live « Récital à Pleyel », nous revenons pour vous sur les rééditions à paraitre en vinyle des albums cultes de ses flamboyantes années 70… Deux modèles et deux carrières d’une longévité exemplaire !
Héritière par excellence de cette génération de chanteuses populaires, c’est à Nolwenn Leroy que nous consacrons le portrait de A à Z, de ce numéro, à l’occasion de la sortie de son album « La cavale », supervisé par Benjamin Biolay, le Pygmalion et autre grand amoureux des chanteuses : l’occasion de mesurer le joli chemin parcouru en 20 ans de carrière, par la lauréate de la Star’Ac…
Dans un autre registre, nous avons rencontré la grande Sapho, pionnière de la Worldmusic en France, qui revient avec un album poignant « J.A.M », dédié à son défunt mari Frédéric. Celle qui a porté notre patrimoine musical aux quatre coins de la planète, s’est tout naturellement racontée en interview « Voyage, voyage ». Et parce qu’en plus, nombreuses de nos chanteuses multiplient les talents et explorent d’autres territoires, l’héroïne de la Pop française depuis 30 ans, la rare et précieuse Jil Caplan, nous a confié ses préférences et conseils de lecture, à l’occasion de la publication de son nouveau livre, « Le feu aux joues ». Quant à la discrète et talentueuse Pauline Croze, dont on adore le nouvel album « Après les heures grises », elle nous a concocté sa playlist idéale, en répondant à l’interview « 100% musique ».
Au rang des nouveaux talents, toujours avides de découvrir et se passionner pour des femmes qui chantent, nous avons misé sur Laura Cahen et Maud Lübeck. Sans véritablement être des débutantes, nous gageons qu’elles attireront cette année enfin, toute la lumière qu’elles méritent et la reconnaissance d’un plus large public. L’une, dont l’album « Une fille » est un manifeste sensible et courageux au droit d’aimer une autre femme, était l’invitée rêvée pour notre interview « Comme un garçon ». Quant à l’autre, dont « 1988, chronique d’un adieu » est un album concept bouleversant de bout en bout, journal intime d’un premier amour percuté par un premier deuil, elle était destinée à notre interview « Premières fois ». Nous les adorons et vous les confions… Prenez en soin !
Et puis ce numéro spécial n’aurait pas été complet sans la présence magnétique de la reine Clara Luciani, notre mascotte et notre bonne fée, celle que nous avons connue débutante, et qui devenue star, nous a fait l’amitié de nous rester fidèle. Elle nous a véritablement émus et impressionnés, samedi dernier, majestueuse dans son costume de velours rouge, accompagnée de l’orchestre symphonique de Radio France, point d’orgue du premier Hyper Festival. Nous vous offrons l’album souvenir de ce concert unique dans la tournée-marathon de la belle brune, qui ne devrait pas repartir bredouille des prochaines Victoires de la musique, le 11 février prochain, avec déjà pas moins de 4 nominations…
Côté festivals, s’il y en a un qui met à l’honneur les femmes, dans tous les domaines de la culture (théâtre, littérature, musique…), c’est bien l’excellent Les Emancipéés de Vannes-Arradon, dirigée par Ghislaine Gouby, qui se tiendra cette année du 21 au 27 mars : histoire de nous mettre en appétit, Laura Cahen (encore elle !), Yoa, Clara Ysé et P.R2B, les quatre mousquetaires se partageant l’affiche du concert de clôture intitulé « belle jeunesse » ont pris la pose ensemble pour nous lors de la présentation officielle du festival, dans un bel esprit d’amitié et de solidarité toute féminine ! On vous dit tout sur la programmation !
Enfin, nous avons choisi de consacrer tout naturellement nos rubriques habituelles à cette chanson féminine que nous chérissons tant. D’abord en vous offrant nos plus beaux souvenirs photographiques de rencontres avec ces chanteuses, à la ville comme à la scène, avec une double galerie JSM exclusive, modestement signée de la « JSM team ». Quant à la Disco Story de ce numéro, elle ne pouvait qu’être dédiée qu’aux chansons ayant célébré sur toute la gamme des émotions, la femme, les femmes, et bien évidemment chantées par des femmes, de « La femme chocolat » à la « Femme sous influence » …
Alors plus que jamais, vive les femmes, et qu’elles soient ici remerciées de porter avec force et courage toujours plus loin, toujours plus haut, notre belle chanson française !
Bonne lecture à tous et continuez à nous suivre sur les réseaux sociaux, à liker, commenter et partager les articles que vous aimez ! Merci !
Eric & Gregg
P.S : les gars, on vous aime aussi !
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Eric et Gregg, co-fondateurs, de JE SUIS MUSIQUE, remercient infiniment tous les artistes et tous ceux qui travaillent avec eux et qui continuent, malgré ce contexte toujours difficile, de porter le flambeau de la musique. Merci à tous les collaborateurs de ce numéro et à vous, chers lecteurs et chères lectrices.
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En 2022, après s’être illustrée sur le dernier album de Sylvie Vartan cet automne (cf. « Le bleu de la mer noire »), Clarika sera avec Maissiat et Emmanuel Noblet, de l’aventure du spectacle très attendu, « Dabadie ou les choses de nos vies », une création autour de l’oeuvre musicale et cinématographique du grand auteur et scénariste disparu, qui passera notamment par le théâtre de l’Oeuvre à Paris, les 9, 11 et 12 avril. En attendant, et alors qu’elle travaille actuellement à l’écriture de son prochain album, dont on sait d’avance qu’il sera à son image, hyper élégant, profondément humain et plein d’esprit, elle s’est amusée à ouvrir sa garde-robe pour nous, en paroles et musiques…
À la rédaction de Je SUIS MUSIQUE, on aime les chanteuses : beaucoup, passionnément, à la folie ! Toutes les chanteuses, ou presque, tous styles et toutes générations confondues… Si bien qu’en quatre années d’existence, nous avons eu l’occasion de tisser des liens d’affection, d’amitié et de respect mutuel avec beaucoup d’entre elles. Nous les avons soutenues, rencontrées, interviewées, applaudies et photographiées en concert, à Paris ou lors de festivals, avec un enthousiasme et une ferveur non dissimulés. Certaines ont même poussé la gentillesse jusqu’à prendre la pose, en exclusivité et sans prétention aucune, rien que pour nous. En ce début d’année, et à l’occasion de ce numéro spécial de JSM, nous voulions vous offrir un florilège de notre album de photos-souvenirs, reflet (forcément subjectif et incomplet …) de notre Panthéon intime de la chanson française au féminin…
À la rédaction de Je SUIS MUSIQUE, on aime les chanteuses : beaucoup, passionnément, à la folie ! Toutes les chanteuses, ou presque, tous styles et toutes générations confondues… Si bien qu’en quatre années d’existence, nous avons eu l’occasion de tisser des liens d’affection, d’amitié et de respect mutuel avec beaucoup d’entre elles. Nous les avons soutenues, rencontrées, interviewées, applaudies et photographiées en concert, à Paris ou lors de festivals, avec un enthousiasme et une ferveur non dissimulés. Certaines ont même poussé la gentillesse jusqu’à prendre la pose, en exclusivité et sans prétention aucune, rien que pour nous. En ce début d’année, et à l’occasion de ce numéro spécial de JSM, nous voulions vous offrir un florilège de notre album de photos-souvenirs, reflet (forcément subjectif et incomplet …) de notre Panthéon intime de la chanson française au féminin…
Après ces longues semaines d’angoisses, d’interrogations, de chagrins, si loin les uns des autres, quel bonheur de vous retrouver ! Enfin libres, ou presque…
Jamais depuis longtemps, cette liberté que chacun d’entre nous réapprivoise progressivement, ne nous est apparue si précieuse et si essentielle… Si bien que, même si tous les champs d’action ne sont pas encore retrouvés, et notamment, celui de se rassembler autour de nos artistes en concert, surtout hélas en cette période estivale d’ordinaire dédiée aux festivals, nous avons choisi de placer ce numéro sous le signe de la liberté retrouvée !
Et qui mieux qu’Emmanuelle Béart pouvait incarner cette valeur qui rime avec égalité et fraternité au fronton de nos institutions ! La comédienne a, plus souvent qu’à son tour, manifesté sa soif de liberté dans ses ambitieux choix artistiques, comme dans ses engagements de citoyenne, quitte à risquer d’égratigner son statut de star. Nous avons choisi de lui consacrer la couverture de ce numéro, à l’occasion de la sortie de l’album « De Béart à Béart(s) », une magnifique collection de 19 « versions libres » de tubes extraits de l’oeuvre monumentale de son père, revisitées par des artistes d’horizons divers et multi-générationnels, qu’elle a réunis avec sa soeur Ève. Ce héros de père, c’est Guy Béart, immense poète, lui aussi vaillant défenseur de la liberté artistique, dont chacune des chansons résonne encore aujourd’hui comme un hymne à la désobéissance… Emmanuelle nous a longuement raconté la genèse de ce projet unique, à coeur ouvert, avec une sincérité touchante et une sensibilité à fleur de peau… Et pour prolonger cet appel d’air frais et poétique, nous vous invitons à parcourir la galerie exclusive de portraits qu’a réalisés l’illustrateur Stéphane Manel de l’ensemble des participants, comme pour mieux exalter ces airs de famille qui les rattachent au grand Guy.
Etrange et triste coïncidence, ce sont aussi deux apôtres de la liberté qui nous ont quittés ces dernières semaines et auxquels nous rendons hommage dans ce numéro : tout d’abord Christophe, qui n’a eu de cesse pendant toute sa carrière de brouiller les pistes et d’aller à la recherche de nouveaux sons, d’explorer d’étranges galaxies, comme pour repousser les murs d’une variété française, trop étriquée à son goût, et à laquelle il a apporté des lettres de noblesse, au point de devenir un modèle intouchable pour plusieurs générations, comme en témoignent les nombreuses reprises d’hier et d’aujourd’hui de ses innombrables tubes, et que nous avons recensées pour vous, en guise d’ultime adieu au dernier Dandy…
Dans un autre registre, le grand Idir a bravé toutes les lois de son pays, pour porter ses messages de paix, d’espoir, et de fraternité… Il s’en est allé, aussi discrètement qu’il avait vécu. Nous avions rencontré cet esprit libre à l’occasion d’un déjeuner amical de présentation de son dernier album de duos, entouré de Gérard Lenorman, Grand Corps Malade et Maxime Le Forestier… Nous voulions vous offrir le reportage photographique de ce dernier moment intime, paisible et amical, avec ce grand Monsieur…
Côté interviews, en dépit d’une actualité musicale au ralenti, nous avons multiplié les rencontres, privilégiant les artistes nous ayant accompagnés dans nos espaces confinés : à commencer par notre amie Clarika, toujours aussi jalouse d’une liberté et d’une indépendance qu’elle cultive depuis près de 30 ans de carrière sans concessions, et qui a répondu à notre interview 100% musique. De son côté, le trop rare et inclassable Joseph d’Anvers, s’est prêté avec passion à notre interview 100% cinéma (un univers qu’il connait bien…), à l’occasion de la sortie de son captivant roman « Juste une balle perdue ». Comme si entre musique, cinéma, et littérature, Joseph refusait de choisir d’entrer dans une case. Quant à Yelle dont on fête le grand retour, elle s’est glissée sans complexes dans la peau d’un homme, le temps d’une interview « Comme un garçon », débarrassée de tous les tabous sur la question du genre.
Parmi les benjamins, nous avons retrouvé avec bonheur, la sympathique Hoshi, qui publie une deuxième opus confirmant son talent singulier, et son attachement à des valeurs essentielles comme la liberté d’aimer et l’égalité des droits, à l’instar de son single « Amour censure » : elle s’est prêtée en toute franchise à notre questionnaire « Déshabillez-moi ».
Tout aussi libre de toute référence artistique passée, Hervé trace sa route et creuse un sillon musical personnel, comme en témoigne son premier album très attendu « Hyper » , à l’occasion duquel il répondu sans retenue au fameux Questionnaire de Proust.
Nous avons aussi fait connaissance avec la très talentueuse Clou, qui s’est rappelée ses toutes « premières fois », pas si lointaines, vu son jeune âge, avec une liberté de ton rafraichissante…
Très présent sur les réseaux sociaux, la star Matthieu Chédid incarne également comme personne, et depuis ses débuts, un modèle d’affranchissement à l’égard de l’héritage familial certes, mais aussi et surtout de tous les codes propres au métier de chanteur : de sa voix de tête à ses mélodies biscornues, en passant par ses costumes roses et son improbable coiffure en forme de M. Rien que pour cela, nous lui devions bien un portrait de A jusqu’à Z, histoire de lui dire merci d’être lui-même. Merci, avec un M majuscule !
C’est désormais un rendez-vous incontournable de JSM : nous avons consacré notre galerie virtuelle à Kyès, un jeune artiste repéré sur Instagram ! Lui aussi a joué la carte de l’impertinence et du mélange des genres, en faisant entrer les stars de la Pop dans son petit musée personnel. Il nous a confié quelques unes de ses oeuvres les plus révolutionnaires, au carrefour de la peinture classique très académique et de la photographie : le résultat est magique et époustouflant ! Suivez le guide Kyès…
Autre rendez-vous régulier désormais dans JSM, “Disco Story” que nous consacrons dans ce numéro, aux artistes qui ont bravé l’ordre moral et la censure pour s’afficher plus ou moins dénudés, en toute liberté ! Nous avons retrouvé pour vous un florilège des pochettes de disques de ces stars d’hier et d’aujourd’hui dévoilant une épaule, un dos, un sein, un torse, voire beaucoup plus… Certaines ayant même, de Bardot à Birkin ou Farmer, construit leur statut d’icône à force d’afficher cette façon d’être, libre et nue, tout simplement.
Enfin, en plus de nos focus sur les belles rééditions consacrées à un Johnny Hallyday 69, plus psychédélique que jamais, et au couple mythique France Gall / Michel Berger, vous retrouverez dans notre rubrique Discorama, tous les artistes ayant refusé de vivre enfermés et de subir la fatalité, en apportant spontanément leur soutien aux soignants et au monde médical, en paroles et musiques : nous avons collectionné pour vous les chansons les plus sincères et touchantes, nées pendant cette période inédite de mise à l’épreuve de notre liberté de mouvement …
Nous vous souhaitons une bonne lecture avec tous ces artistes, en espérant qu’ils vous accompagneront pendant ces prochaines semaines de reconquête de vos libertés, en attendant de les retrouver sur scène !
Merci d’être Musique, de nous suivre, de relayer et partager nos publications sur les réseaux sociaux, pour que JSM puisse continuer de rester le magazine digital indépendant que vous aimez, fait avec le coeur et avec passion.
En attendant, soyez toujours prudents bien sûr, mais avant tout, soyez heureux… et libres !
Eric & Gregg.
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Eric et Gregg remercient infiniment tous les artistes qui, en dépit du contexte difficile, ont collaboré à ce numéro ainsi que tout ceux qui, dans leur ombre travaillent pour les mettre en lumière. Merci aux collaborateurs de ce numéro. Merci infiniment à vous, lectrices, lecteurs.
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Toutes reproductions des œuvres et photographies de ce numéro sont strictement interdites et sont la propriété de leurs auteurs. Merci.
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À défaut d’avoir pu continuer sa tournée, entre le festival « Je reste à la maison », ses sessions acoustiques sur les réseaux sociaux et ses tea-times avec ses Boys en direct de son salon aux couleurs acidulées, notre amie Clarika aura été une des artistes les plus actives pour égayer nos dernières semaines d’isolement… En attendant de pouvoir la retrouver sur scène, notamment au Bataclan le 2 décembre 2020, et alors qu’elle vient de dévoiler un nouveau clip, « Le désamour », extrait de son magnifique album « À la lisière », elle a répondu avec sérieux (et amusement…) à notre Questionnaire 100% Musique…
Le 3 avril dernier à la Cigale à Paris, Clarika
entamait sa nouvelle tournée dans la foulée de la sortie de son splendide 8ème
album « A la lisière »… Toujours sur le fil entre humour décalé et
émotion à fleur de peau, la chanteuse résolument à part dans le paysage musical
français retrouvait son public fidèle depuis plus de 25 ans…
Depuis ses débuts en 1993, à force d’exigence et de ténacité, Clarika s’est construit un répertoire impeccable et une riche carrière scénique qui forcent le respect et l’admiration de tous. Femme et artiste résolument libre et toujours sur le fil, entre émotion et légèreté, elle a trouvé sur ses chemins de traverse une inspiration et une originalité qui font d’elle aujourd’hui un modèle et une référence en matière d’écriture féminine. A l’occasion de la sortie (le 8 mars) de son 8ème album, « A la lisière », annoncé par le splendide clip “Même pas peur”, tourné à Venise, elle a accordé à Je Suis Musique la toute première interview de son planning promo, pour évoquer la genèse de cette nouvelle pierre à son superbe édifice discographique…
Il y avait du beau monde, le 3 novembre dernier au Casino de Paris, pour la 8ème édition de « Ose », le concert associatif des Coccinelles, au profit de l’association A.N.R, qui lutte contre la neurofibromatose et les maladies rares : Zazie, Alain Souchon, Maxime Le Forestier, Hugues Aufray et une pléiade d’artistes venus soutenir une cause importante… Ils étaient tous là ! Retour en images sur un concert aussi utile que beau !Poursuivre la lecture de « »