JULIETTE ARMANET

de A à Z

C’est un des évènements les plus attendus de cet automne ! Après le triomphe du précédent « Petite amie », l’ayant directement installée dans la cour des grands, il y a quatre ans déjà, Juliette Armanet est de retour avec un deuxième album, « Brûler le feu », annoncé par le flamboyant extrait « Le dernier jour du Disco », illustré par un clip crépusculaire, de couleur rouge passion… Pour célébrer comme il se doit ce grand retour, et histoire de revenir sur sa jeune et déjà foisonnante carrière, nous avons dressé le portrait de A à Z de l’inclassable et très aimée chanteuse !

A comme « Alexandre » : une des chansons phares de son premier album, donnant lieu à des rencontres désopilantes sur scène, lorsqu’elle invite un supposé Alexandre du public, à la rejoindre au piano pour lui déclarer sa flamme.

B comme Barclay : c’est sur le label historique qu’elle est signée au sein d’Universal, après avoir remporté le concours de musique organisé par les Inrocks, inRocks Lab en 2014. Suite à divers remaniements de labels au sein du groupe, elle fait désormais partie de l’écurie Romance, au même titre que ses amies et consoeurs Clara Luciani et Angèle,

C comme Cannes :  elle interprète « Les Moulins de mon coeur », lors de la cérémonie d’ouverture du festival de Cannes en 2018 et reprend le titre sur le plateau de l’émission Quotidien en l’honneur de Michel Legrand le 28 janvier 2019.

D comme Duos : toujours partante pour marier sa voix à celle d’autres talents, on ne compte plus ses contributions tant sur disques que sur scène. Parmi ses duettistes, on compte Clara Luciani, Corine, Eddy Mitchell, Moodoïd, Benjamin Biolay, Julien Doré, et même le regretté Christophe, avec lequel elle reprend « Boule de flipper », le tube immortalisé par Coryne Charly, sur l’album « Christophe, etc » en 2019. 

E comme enfant : très pudique et secrète sur sa vie privée, elle a dévoilé pour la première fois sur Instagram, le 30 mai 2021, une photo de son fils avec elle au piano, avec une légende toute simple : « cet amour-là ». 

F comme Francofolies de la Rochelle : c’est enceinte et arborant un gigantesque drapeau bleu blanc rouge, pour célébrer la victoire des Bleus en Coupe du Monde, qu’elle s’y produit le 14 juillet 2018, sur la grande scène de l’esplanade Saint-Jean d’Acre.

G comme Grazia : le magazine féminin de référence, aujourd’hui disparu, est un des premiers à lui consacrer sa une. Elle y apparait décontractée et souriante, en salopette rouge. La magazine titre : « Une star est née… ».

H comme « Homme heureux (un) » : grande admiratrice de William Sheller depuis toujours, elle reprend le tube du lors de la 25ème édition des Nuits de Champagne à Troyes, qui la mettent à l’honneur en octobre 2017.

I comme « Indamour » : elle propose une reprise de ce titre sur l’album « Man In The Bubble » de Lewis Evans en 2017.

J comme Jeanne d’Arc : c’est le personnage historique dans lequel les artistes Pierre et Gilles l’imaginent, le temps d’une séance photo entrée dans la légende, à l’occasion de leur exposition « la fabrique des idoles », à la Philharmonie de Paris à l’automne 2019,

K comme Karaoké : d’abord journaliste et réalisatrice de documentaires pour Arte (« Eloge de la jupe ») et France Culture, elle fait quelques apparitions au cinéma comme actrice, notamment comme chanteuse de bar de karaoké dans « Marie et les naufragés » de Sébastien Betbeder en 2016, après avoir été chanteuse de métro chez Jeunet dans « Micmacs à titre-larigot » en 2009.

L comme Larusso : Juliette a dernièrement créé la surprise sur France Inter, en reprenant le tube « Tu m’oublieras » de la rousse chanteuse, dans une version totalement inédite et hyper sensible en simple piano-voix.

M comme Madame Arthur : elle se produit, seule au piano, dans le fameux cabaret de transformistes de Pigalle à Paris, le temps d’un showcase historique de présentation aux médias de son premier EP, le 26 avril 2016, suscitant une très forte attente envers son premier album. 

N comme « Noureev » : en 2019, elle fait une apparition remarquée comme chanteuse de Jazz dans le biopic réalisé par Ralph Fiennes et consacré à l’étoile de le danse.

O comme Olympia : désormais familière de la mythique salle parisienne du Boulevard des Capucines, elle s’y produira les 16 et 17 février 2022.

P comme Piano : indissociable de l’image de la chanteuse, elle s’accompagne elle-même de cet instrument comme dans son dernier clip, perpétuant la tradition de rares femmes chanteuses et musiciennes comme Barbara, dont elle reprend d’ailleurs « l’aigle noir », sur l’album hommage « elles et Barbara » en 2017.

Q comme Queen : entre autres reprises, Juliette s’autorise à donner sa propre version du tube « Cool Cat » du groupe de légende mené par Freddie Mercury. La chanson figure sur l’album concept multi-artistes « Souris Calle » de l’artiste Sophie Calle. 

R comme rééditions : fort de son succès, l’album « Petite amie », connait pas moins de trois éditions, l’édition originale rose (2017), la première réédition bleu ciel dite « Délice » incluant 4 titres bonus, et enfin l’édition Live sur fond bleu nuit, comprenant le CD original et un CD live de 13 titres, et 2 inédits, dont le sublime « Microsillons » en duo avec Alain Chamfort.

S comme Sanson, Véronique : pour beaucoup, Juliette s’inscrit comme la plus évidente descendante de l’immense chanteuse. D’ailleurs, Véronique elle-même, l’invite à chanter « Une nuit sur son épaule », sur son album « Duos volatils » en 2018.

T comme « Turn Up The Volume » : le nom de la collection capsule qu’elle crée pour la marque de prêt-à-porter Claudie Pierlot, en septembre 2018.

U comme « Ultra moderne solitude » : elle propose une version revisitée très touchante du tube d’Alain Souchon, sur l’album hommage collectif « Souchon dans l’air », paru en 2017.

V comme Victoire de la Musique : « petite amie » reçoit celle de l’album révélation de l’année en février 2018.

W comme Weeknd (the) : elle adapte la chanson du fameux groupe The Weeknd, « I Feel It Coming », devenue sous sa plume malicieuse, « Je te sens venir ». Un must de ses concerts !

X comme « classé X » : de la pochette de son premier EP « Cavalier seule », à l’édition promotionnelle de « Petite amie », Juliette est une femme affranchie et décomplexée, qui n’hésite pas à tomber le haut, pour les besoins de photos artistiques restant néanmoins toujours très pudiques, sous l’oeil créatif de son photographe attitré Léo Mercier.    

Y comme « Y’a pas que les grands qui rêvent » : Juliette prend un grand plaisir à reprendre des chansons du répertoire populaire, comme le tube de l’ex baby star Melody, écrit par Guy Carlier en 1989, pour en proposer des versions revisitées totalement décalées comme elle l’a fait sur l’antenne d’Europe 1.

Z comme Zoo : des chevaux de « Cavalier seule » dont elle emprunte les attributs sur la pochette, aux différents chiens avec lesquels elle s’amuse à poser, le monde animal tient une place particulière dans l’imagerie et l’univers de juliette.

Réalisé par Eric Chemouny

Photos : Photos UM (DR) / Pierre & Gilles (DR) / Les Francofolies de la Rochelle 2018 (DR) / Gregory Guyot (DR / JSM / @i_am_Gregg) / Victoires de la Musique 2018 (DR / FTV)