VIANNEY
de A à Z
Après un premier extrait « N’attendons pas », un titre de circonstances sorti en post-confinement, Vianney vient de nous livrer l’émouvant et très réussi « Beau-papa ». Il sera assurément un des artistes incontournables de l’automne avec la sortie de son troisième album enregistré cet été (sortie le 30 octobre 2020), un nouveau rôle de coach dans The Voice et une tournée dans des salles qu’il a lui-même souhaitées à taille humaine. En attendant de le retrouver, et histoire de présenter au passage nos voeux de bonheur au jeune marié, nous avons dressé son portrait de A à Z…

A comme Ardant, Fanny : en 2018, elle est sa maman de cinéma, dans le film « Ma mère est folle », réalisé par Diane Kurys. Une première expérience enrichissante pour lui, mais un échec au box-office. Cette même année, il est la voix française de la série d’animation « Pomme et oignon ». Pour le cinéma, il signe aussi « Si on chantait » la chanson du film « Le petit Spirou », de Nicolas Bary en 2017.
B comme Bureau : son nom de famille, sous lequel il signe ses chansons. Vianney Bureau nait à Pau le 13 février 1991, d’un père militaire, pilote d’hélicoptère dans l’armée de terre, et d’une mère pilote d’avion, reconvertie dans l’enseignement de l’économie et de la gestion.
C comme catholique : élevé dans une famille catholique pratiquante, et ancien scout, l’artiste n’a jamais caché sa foi religieuse, qu’il fait rimer avec engagement et charité. Il participe régulièrement à l’accueil de SDF dans une paroisse parisienne avec l’opération « Hiver solidaire » et lit occasionnellement la messe dans une église du 9ème arrondissement.

D comme Dion, Céline : très vite sollicité par d’autres artistes, il signe « Ma force » pour la star québécoise, sur l’album « Encore un soir » (2016).
E comme Enfoirés (les) : il écrit et compose « On trace » l’hymne du « Monde des Enfoirés », le spectacle donné par la troupe des Enfoirés au profit des Restos du coeur en 2019.
F comme « Filles d’aujourd’hui (les)» : le titre qu’il co-écrit et co-compose avec Joyce Jonathan, en 2015. c’est une de ses premières collaborations, et le début d’une longue liste à venir…
G comme Gim’s (Maitre) : avec la star du Rap, il chante en duo « La même », dont le clip attire les foudres de la réalisatrice Charlotte Abramow (cf Angèle). Si Vianney a la sagesse de ne pas entrer dans la bataille, le titre reste le plus diffusé par les radios françaises en 2018, et le clip se hisse en seconde position des passages TV de l’année.
H comme Hamel, Jacques : le martyr de l’église catholique, mort égorgé lors de l’attentat de l’église Saint-Etienne du Rouvray, auquel il dédie sa chanson « L’homme et l’âme ».
I comme « Idées blanches » : sorti en octobre 2014, l’album le consacre directement comme la nouvelle idole des jeunes et des moins jeunes, grâce au tube, « Pas là », mais aussi aux autres extraits « je te déteste » », « Veronica »… L’album rapidement réédité en version luxe avec des reprises et inédits, est disque de platine, avec plus de 100.000 exemplaires vendus, ouvrant les portes du succès au suivant, « Vianney », sorti le 25 novembre 2016, certifié disque de diamant, et écoulé à plus de 500.000 exemplaires…

J comme « Je m’en vais » : premier extrait de son deuxième album éponyme, la chanson est élue « chanson originale de l’année » aux Victoires de la Musique en 2017. Sacré artiste interprète de l’année en 2016, c’est sa deuxième Victoire de la musique, à seulement 26 ans.
K comme Kids United : au printemps 2019, il écrit et compose tout un album pour Erza Muqoli, la petite fille issue des Kids United, devenue adolescente. Le premier extrait « Je chanterai » sort en mai et l’album en octobre 2019, mais ne rencontre pas le succès escompté, malgré la sympathie du public pour les deux artistes.
L comme Louane : en 2017, Vianney signe la chanson « Lego », sur le deuxième album de l’actrice-chanteuse révélée par The Voice. Ils se retrouvent depuis régulièrement sur scène ou en télé pour chanter en duo.

M comme mariage : la talentueuse violoncelliste Catherine Robert est sa compagne depuis 2016. Ils se sont mariés en toute discrétion le 14 juillet 2020.
N comme New Morning : en 2007, alors qu’il vient d’enregistrer un premier album auto-produit, avec l’aide de son frère aîné, il joue dans la salle parisienne en finale d’un parcours Emergenza, ouvert à des musiciens amateurs.
O comme Obispo, Pascal : entre autres rencontres avec des artistes toutes générations confondues, il reprend « Lucie » en duo avec son créateur pour les besoins d’un Taratata.
P comme « Pour oublier » : le tube de Kendji Girac, dont Vianney est auteur et co-compositeur, contribuant à renouveler l’image du jeune chanteur d’origine Gipsy, et élargir son répertoire.

Q comme « Quand je serai père » : une chanson extraite de son deuxième opus éponyme, écrite et composée alors que l’artiste n’est pas encore papa, et témoin de sa grand maturité. Elle constitue également une forme d’hommage pudique à son propre père qui l’a encouragé dans sa voie artistique. Sur la scène de l’AccorHotelsArena, il remercie d’ailleurs ses parents de l’avoir « laissé libre » depuis sa plus tendre enfance.
R comme reprise : auteur-compositeur, Vianney excelle aussi comme interprète pur, et l’a prouvé en revisitant de nombreuses chansons du répertoire français, comme « Quand j’étais chanteur » (Michel Delpech) ou plus récemment « Il n’y plus d’après » (Guy Béart) sur l’album Tribute « Versions libres » supervisé par Emmanuelle Béart.
S comme Sanson, Véronique : « Chanson sur ma drôle de vie », avec sa créatrice est une des réussites de l’album « duos volatils » de celle-ci, paru en 2018. Véronique le rejoint sur scène en juin 2018 à l’AccorHotelsArena, à Paris, salle gigantesque qu’il remplit deux soirs de suite, quasiment seul sur scène avec sa guitare. Patrick Bruel (pour lequel il signe « Tout recommencer »), Mc Solaar ou BigFlo et Oli font aussi partie de ses invités.
T comme Tôt ou Tard : le nom de son label dont il est aujourd’hui une des « locomotives », aux côtés Yael Naïm, Vincent Delerm, Albin de la Simone, Clou ou Shaka Ponk.
U comme Ukulélé : musicien émérite, Vianney s’accompagne sur scène à la guitare depuis ses débuts, et s’amuse parfois à la troquer pour un Ukulélé avec l’humour et la distance qu’on lui connait.
V comme Vaudey, Isabelle : sa manageuse, depuis 2011. C’est grâce à elle qu’il rencontre Antoine Essertier, réalisateur de son premier album enregistré en Auvergne, en été 2013.
W comme W9 : le 27 janvier 2019, sur la scène de La Cigale à Paris, il reçoit des mains de Julien Clerc, le « Prix talent W9 », venant allonger une jolie liste de récompenses.

X comme « monsieur X » : Vianney est l’anti-star par excellence. Entre deux concerts, et outre ses actions caritatives anonymes, son caractère discret et modeste le conduit à redevenir monsieur X, loin des projecteurs, comme lorsqu’il s’engage dans des voyages en solitaire, à but spirituel ou sportif, et se rend à vélo à Berlin, Londres ou Stockholm, un voyage illustrant d’ailleurs le clip de sa chanson « Veronica ».
Y comme Youtube : hyper populaires, les clips de Vianney atteignent régulièrement des records de fréquentation sur la chaine, comme « Je m’en vais » ayant totalisé 113 M de vues à ce jour, ou 171 M pour « La même » avec Gims.
Z comme Zouave Productions : son tourneur, qui l’accompagnera encore pour sa nouvelle tournée à partir de février 2021.
Réalisé par Eric Chemouny
Crédit photos : Jérôme Witz (DR / Tôt ou Tard) / photos live : Daniel Millet (DR / JSM)

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