La French Connection de

MADONNA

Pour accompagner l’album le plus ambitieux et déroutant de sa carrière, “Madame X”, la plus grande star mondiale Madonna a tenté une nouvelle expérience de scène, en créant un spectacle intimiste et arty, loin des stades et des arenas. Un concept imposé en résidence totalement fermée aux connexions, pour une immersion absolue dans son univers foisonnant et égocentrique. Après avoir présenté son show dans un agenda chaotique lié à des douleurs au genou, dans 8 villes des Etats Unis, de New York à Miami, Madonna a choisi 3 capitales seulement en Europe où elle mettra fin dans la souffrance à sa tournée : Lisbonne, Londres et enfin Paris, au Grand Rex. Après le report de dates, les shows annulés et la douleur grandissante au genou, c’est finalement les toutes premières mesures prises contre le Coronavirus qui auront eu raison de Madame X dont le rideau rouge de la salle étoilée s’est baissé plus tôt que prévu, dimanche 8 mars. Malgré tout, l’événement reste de taille et scelle la relation entre Madonna, Paris et la France. La star a toujours voué une admiration sans bornes à notre culture, avec laquelle elle a multiplié les connections, les collaborations, les hommages et les clins d’oeil (y compris dans ce show) au cours d’une carrière totalement unique… A l’occasion de ses concerts crépusculaires et fulgurants à la (pas) drôle de fin, nous vous proposons de redécouvrir Madonna dans le prisme des français de sa vie...

MADONNA & PATRICK HERNANDEZ

En 1978, Madonna, qui s’appelle encore Louise Ciccone est déjà pleine d’ambition : elle rêve de scène, de cinéma, de musique et de danse, pas encore de chanson, et a quitté Détroit pour rejoindre New York quasiment sans un sou. En pleine hystérie Disco, elle a 19 ans lorsqu’elle croise le français Patrick Hernandez, 30 ans, qui vient de sortir l’un des plus gros hits mondiaux du genre, «Born To Be Alive”. Il l’auditionne comme danseuse pour assurer la promo de son tube à la télévision américaine. Il ne la retient pas pour sa troupe, cosidérant qu’elle mérite beaucoup mieux que ce qu’il lui propose, mais l’invite à venir avec lui à Paris, ce qu’elle accepte. Ils habiteront ensemble pendant un an, avec dans leurs bagages une promesse d’album pour elle. Il veut faire du Disco, elle veut faire du Punk Rock, clash! Louise Ciccone retourne à New York se faire un nom et imposer ses règles.


MADONNA & JEAN-PAUL GAULTIER

Madonna et Jean Paul Gaultier étaient fait pour se rencontrer ! Défiant les règles et les conventions, ils ont chacun joué de provocation pour révolutionner leur art. Entre eux, une histoire de soutien-gorge conique que le jeune Jean-Paul dessine et crée d’abord pour son ours en peluche, et auquel il donne vie sur la poitrine de Madonna, emblème fétiche de son “Blond Ambition Tour” en 1989, porte-drapeau de son statut de provocatrice ultime. Entre eux, une histoire de mode, d’amour et d’amitié indémodable. Après cette première collaboration, les deux icônes travaillent ensemble sur d’autres tournées dont “Confession Tour” ou “MDNA”. Elle défile pour lui, il joue les guest-stars sur scène pour elle comme sur la tournée “Rebel Heart” en 2015, ou dernièrement au Grand Rex sur la première date parisienne du “Madame X Tour”, le 22 février dernier. Il est l’homme de sa vie et sans aucun doute celui qui lui a été le plus fidèle et le plus loyal. Elle aime son “enthousiasme pour la vie” et de son côté, il avoue l’avoir demandée en mariage trois fois… et essuyé trois refus. En 2019, Lourdes (qui parle un français impeccable) prend la relève de sa mère et participe à la campagne Supreme x Gaultier. Et si elle a été absente lors des adieux à la mode du couturier le 22 janvier, dernier alors que toutes les stars se pressaient pour défiler, elle lui a témoigné par écrit son affection éternelle : “Jean Paul. Quoi que tu fasses par la suite, ce sera du génie ! Je suis si reconnaissante d’avoir collaboré avec toi lors de nombreuses et incroyables aventures de mode au fil des ans. Il n’y a personne d’autre comme toi. Et il n’y en aura jamais ! Ton cœur, ton talent, ton humour. Tu es si spécial. Je ne te souhaite que le meilleur.”


MADONNA & JEAN-BAPTISTE MONDINO

Jean-Baptiste Mondino est le photographe des plus grandes stars du monde entier, dont Madonna, avec laquelle il a beaucoup travaillé. Pour elle, il réalise notamment la pochette et les photos de l’album “Music”, celle de “Hollywood” ou encore de “Rescue Me”. Mondino n’est pas qu’un grand photographe, c’est aussi un grand réalisateur de clips qui lui a valu plusieurs prix, plusieurs Victoires de la Musique dont celle pour “Tandem” avec Vanessa Paradis. De la photo à la vidéo, il n’y avait qu’un pas pour les deux artistes : il réalise ainsi pour Madonna quelques uns des clips les plus emblématiques de sa carrière : le premier, en 1986, “Open Your Heart” est un véritable événement télévisuel ; “Justify My Love” en 1990, un titre écrit par Lenny Kravitz tourné à Paris, au Royal Monceau ; “Human Nature” en 1994 en huis clos SM, “Love Don’t Live Here Anymore” en 1996 dans une ambiance “Evita”, “Don’t Tell Me” en 2000 qui revisite les codes de la Country sexy ou encore “Hollywood” en 2003 sur les dérives du star-system.


MADONNA & MIRWAIS

Avec Jean Paul Gaultier, l’ex-Taxi Girl Mirwais est sans doute l’autre français le plus fidèle à Madonna : Mirwais est moins médiatique que le couturier mais il a, comme lui, contribué à moderniser sans cesse l’image de la star, à toujours donner un son actuel et même avant-gardiste à ses albums depuis “Music” en 2000, pour lequel ils collaborent pour la première fois (sur 6 des 10 titres). Ils se rencontrent un an avant à Londres, elle aime son travail, il lui propose rapidement quelques titres, leur émulsion est très créative et leur volonté d’innover sans cesse est commune. Si Madonna a ensuite travaillé avec beaucoup d’auteurs, compositeurs, arrangeurs et producteurs, elle a régulièrement retrouvé Mirwais jusqu’à ce dernier album si audacieux, “Madame X” : en 2003 pour “American Life” en 2003 (8 titres sur 11), en 2006 pour “Confessions on a Dancefloor” (4 titres sur 14). Ensemble, ils repoussent toutes les limites musicales, transgressent les sons jusqu’à cette époustouflante odyssée futuriste Ethno-Pop qu’est “Madame X” (7 titres sur 15). Il la fait entrer dans la légende de James Bond en lui faisant chanter le générique toujours iconique de 007 : “Die Another Day” (dans lequel elle joue un petit rôle également). Mais presque surtout, il la fait même chanter en français sur “Paradise (is not for me)” qui figure simultanément sur “Music” et sur son propre album, “Mirwais”. Dans cette chanson, on entend Madonna susurrer “Autour de moi, je ne vois pas, qui sont des anges, sûrement pas moi, encore une fois, je suis cassée, encore une fois, je n’y crois pas”.


MADONNA & MARTIN SOLVEIG

Guy Oseary, la manager de Madonna, découvre “Hello” le tube du DJ français Martin Solveig et lui demande plusieurs démos pour ce qui sera l’album “MDNA”. Madonna le rencontre et enregistre avec lui “Give Me All Your Luvin'”, premier single forcé suite aux fuites sur le net d’une démo déclenchant une enquête du FBI. Martin Solveig produira au final 5 autres titres sur cet album : “Turn Up the Radio”, “I Don’t Give A..” en duo avec Nicki Minaj et les chansons “Beautiful killer”, “I F***ed Up” et “B-Day Song” avec M.I.A. présentes sur la version deluxe de l’album.


MADONNA & BETTINA RHEIMS

Après l’album de tous les scandales “Erotica”, la tournée du Girlie Show et le livre “Sex”, Madonna sort en 1994 un album plus sage : “Bedtime Stories”. Pour la promotion de l’album, elle réalise pour le magazine “Details” en octobre 1994 (reprises par FHM en mars 1995) une série de photos où elle fait appel à une photographe française, engagée : Bettina Rheims, une des rares femmes autorisée à la photographier dans sa carrière. Elles se rencontrent à New York pour un shooting indoor et immortalisent plusieurs photos iconiques dans une série intitulée “Madonna Laughing and Holding Her Breasts”. Parmi ces clichés, 3 figurent parmi les objets les plus chers vendus concernant la star. L’un des photos de cette séance servira de pochette de single à l’une des éditions de “Human Nature”, 4e album extrait de “Bedtime Stories”. Pour ces photos, Bettina Rheims fait ce qu’elle sait faire de mieux et qui fait sa patte et son talent : jouer avec la couleur et les corps et exalter la féminité et les sexualités, ce qui plait évidemment à la chanteuse. Elles ne collaboreront qu’une seule fois ensemble.


MADONNA & PATRICK DEMARCHELIER

Madonna a collaboré à plusieurs reprises avec un autre photographe français, l’un des plus grands : Patrick Demarchelier, qui a réalisé pour la star plusieurs photos iconiques, telles que celles en cuir SM qui serviront de pochette au single “Justify My Love” ou encore celles, en geisha, réalisées pour la promotion du single “Nothing Really Matter” en 1999 qui feront la couverture du Harper’s Bazaar, reprises dans le monde entier et dans le programme du “Drowned World Tour”. Photographe de mode avant tout, Patrick Demarchelier, né au Havre, met en avant une Madonna stylisée, prête à faire la cover de Vogue et des grands titres de la presse fashion.


MADONNA & LUC BESSON

En 2003, Madonna fait appel à Luc Besson pour mettre en images sa chanson “Love Profusion” extraite de l’album “American Life”. Le clip est tournée à Los Angeles en octobre. Et soulignons-le, c’est une société française qui s’occupe des effets spéciaux numériques : Buf Compagnie. Derrière ce clip, des projets de films ensemble… qui ne verront jamais le jour.


MADONNA, PIERRE & GILLES

En 1995, Madonna souhaite rencontrer Pierre & Gilles, dont elle découvre le travail grâce à Jean-Paul Gaultier qui les présente. En résulte un shooting photos, où le duo immortalise la star en Ushiwaka, personnage androgyne issu de la mythologie japonaise qui se battait contre des dragons, dans une oeuvre intitulée “Legend” et qui vient tout juste d’être exposée à la Philharmonie de Paris dans le cadre de leur formidable exposition : “La fabrique des idoles”. Ce tableau est une exception dans la carrière de Pierre & Gilles, puisqu’il est l’une de leurs très rares œuvres à ne pas avoir été réalisée dans l’atelier de leur maison au Pré Saint-Gervais, cette fameuse fabrique des idoles. En effet, Pierre et Gilles ont du s’envoler en Concorde rejoindre Madonna à New York pour la confectionner.


MADONNA & AGNES VARDA

En 1993, en pleine folie “Erotica-Sex”, Madonna crée l’événement en France en acceptant de venir sur un plateau de la télévision française pour une émission spéciale présentée par Christophe Dechavanne, qui avouera qu’elle a été l’un de ses pires souvenirs de plateau. Pour autant, il lui prépare une surprise inattendue en invitant Agnès Varda. On découvre alors une Madonna, totalement émue devant elle, cinéphile et admirative du talent et de l’engagement de la réalisatrice. Plus jeune, elle avait totalement été subjuguée par “Cléo de 5 à 7”, le chef d’oeuvre d’Agnès Varda sur le parcours d’une jeune femme qui fait face à l’annonce de son cancer le temps d’une journée, et dont ce thème renvoie Madonna au souvenir de sa mère, disparue lorsqu’elle avait 5 ans. Elle achète les droits du film pour en faire le remake américain où elle reprendrait le rôle de Corinne Marchand avec Agnès Varda à la réalisation. Un projet avorté. A l’annonce du décès de la réalisatrice, Madonna tweete : “Adieu à l’une de mes cinéastes préférées, Agnès Varda. Toujours un esprit curieux, créatif, enfantin jusqu’au dernier moment”.


MADONNA & JEANNE MOREAU

Après Agnès Varda en 1993, la télévision française offre à Madonna une autre rencontre émouvante avec Jeanne Moreau, qu’elle avait dit être son actrice préférée, pour concrétiser un rendez-vous manqué à Cannes entre les deux femmes. Cela se passe sur le plateau de “Sacrée Femmes” en 1998 animé par Jean Pierre Foucault qui reçoit aussi ce soir là, Jean Paul Gaultier et Patricia Kaas pour échanger avec la star. A sa disparition, Madonna évoque ce moment et tweete : “Je me souviens de ce jour merveilleux où j’ai rencontré pour la première fois mon actrice favorite, Jeanne Moreau ! Elle est morte aujourd’hui. Elle était unique.”


MADONNA & JACQUES CHIRAC

Madonna et Jacques Chirac, ce n’est pas qu’une histoire de petite culotte ! C’est même l’une des images les plus fortes et symboliques de la relation de Madonna avec la France ! En 1987, alors Maire de Paris, Jacques Chirac, conseillé par sa fille Claude, autorise la star à jouer au Parc de Sceaux le 28 août 1987 devant plus de 100 000 spectateurs son “Who’s that Girl Tour”, première tournée mondiale de la star. Une première ! C’est la première fois que Madonna se produit en France et c’est une véritable Mado-mania qui s’empare du pays. Quelques heures avant ce concert historique, Madonna et le maire de Paris se rencontrent dans les salons de l’Hôtel de ville pour médiatiser un don de 500 000 francs qu’elle fait en faveur de la lutte contre le Sida aux côtés de Line Renaud, ambassadrice de la lutte en France. L’image est très forte et marque un tournant dans la carrière de Madonna en France.


MADONNA & SERGE GAINSBOURG

Le 26 juillet 2012, Madonna donne son concert le plus critiqué de sa carrière, à Paris, à l’Olympia. Arrivée très en retard et expédiant une version tronquée de son MDNA Tour en moins de 50 minutes malgré des places à des prix exorbitants, Madonna distille pourtant ce soir là quelques moments uniques qu’elle a réservée à ce seul Olympia, qui comptait tant pour elle, dont cette reprise en français de “Je t’aime moi non plus”, écrite par Serge Gainsbourg, d’abord chantée en duo avec Brigitte Bardot (qui a pris peur…), puis Jane Birkin moins pudique. Même si elle a souvent évoqué le grand Serge, c’est la seule et unique fois que Madonna chantera cette chanson.


MADONNA & CHARLOTTE GAINSBOURG

Avant l’hommage au père en 2012, Madonna avait déjà évoqué la famille Gainsbourg, via Charlotte. En 2000, sur l’album “Music” se trouve “What it Feels Like for a Girl” qui deviendra le 3e et dernier single extrait de cet album. L’introduction de la chanson est un passage parlé de Charlotte Gainsbourg extrait du film “Cement Garden” réalisé par son oncle Andrew Birkin qui date de 1993. Madonna appellera Charlotte pour lui demander l’autorisation que la jeune fille lui accorde immédiatement. Ainsi, sur la version anglaise et espagnole du titre, on peut entendre Charlotte Gainsbourg, 22 ans au moment du film, dire : « Girls can wear jeans, And cut their hair short, Wear shirts and boots, ‘Cause it’s OK to be a boy. But for a boy to look like a girl is degrading, ‘Cause you think that being a girl is degrading, But secretly you’d love to know what it’s like, Wouldn’t you, What it feels like for a girl ». Charlotte Gainsbourg avouera par la suite que cette participation indirecte lui a redonné l’envie de chanter, 15 ans après “Charlotte Forever”, un premier album de 8 chansons réalisé avec son père. On peut dire que “What it Feels Like for a Girl” donnera naissance, 6 ans plus tard, à l’album “5:55” réalisé avec Air.


MADONNA & ALAIN DELON

Madonna avoue que son idole d’enfance était Alain Delon. Dans l’édition deluxe de l’album “MDNA”, elle lui dédie une chanson, “Beautiful Killer”, qu’elle ne chantera qu’une seule fois, le 26 juillet 2012, à l’Olympia devant un écran qui diffuse les images de l’acteur français. Elle avoue avoir vu tous ses films. Vraiment tous ?


MADONNA & EDITH PIAF

En 2015, lors de son “Rebel Heart Tour”, Madonna choisit Edith Piaf, l’une de ses chanteuses préférées et la chanson “La Vie En Rose” pour rendre hommage aux victimes des attentats parisiens dont ceux du Bataclan qui viennent d’avoir lieu. Le lendemain de cette tragédie, Son “Rebel Heart” est à Stockholm et c’est là qu’elle l’interprète pour la première fois, le 14 novembre 2015. Elle déclare, émue sur scène : “J’ai besoin de prendre un moment pour évoquer la tragédie, le carnage tragique, ces assassinats, et la fin absurde de vies précieuses hier soir à Paris”. Quelques jours plus tard, lors de son passage de sa tournée à Paris, le 9 décembre, Madonna, à la sortie du premier de ses deux concerts à Bercy se recueillera Place de la République en compagnie de quelques proches et fans, improvisant un boeuf collectif. Elle reprend à nouveau “la vie en rose” en hommage à Paris au Grand Rex lors des représentations de “Madame X”. “Paris, l’amour”…


MADONNA & CHARLES TRENET

Même s’ils ne sont jamais rencontrés, Madonna et Charles Trenet (décédé en 2001) sont liés par une chanson très étonnante, restée longtemps inédite de la star américaine : une reprise surprenante et en français de la chanson “Boum”, écrite par le chanteur de Narbonne en 1938. Une chanson qui a tout de même fait le tour du monde, que l’on retrouve par exemple dans Tintin mais aussi dans James Bond. Le titre devait figurer dans la comédie musicale “Hello Suckers”, un projet produit par Mirwais et Patrick Leonard en 2004 et avorté. Notons que dans cette même comédie musicale, Madonna s’attaque également à un autre monument de la chanson francophone, belge cette fois : Jacques Brel mais en anglais avec l’adaptation de “Ne me quitte pas” devenu “If you Go Away” qui n’a été révélée qu’en 2010.


MADONNA & CHRIS(TINE)

Le 10 décembre 2015, Madonna fait monter sur la scène du “Rebel Heart Tour” à Paris une jeune artiste française pour qui elle a eu un vrai coup de cœur et en laquelle elle semble se reconnaître : Héloise alias Christine & The Queens, qu’elle appelle “Christina”, qui n’est qu’au début d’une grande carrière internationale avant même la sortie de son deuxième album. Un flair qu’à toujours eu la chanteuse pour dénicher les talents uniques : toutes deux partagent le goût de la danse, de la chanson et de la gestion de l’image en même temps qu’une forme de subversion. Retrouvailles au Grand Rex, Jeudi 5 mars, puisque c’est elle que Madonna choisit pour son rituel “beer bitch”.


MADONNA & LA NOUVELLE FRENCH CONNECTION

Durant son passage à Paris pour le Madame X Tour, Madonna en profité pour retrouver deux français que le monde entier connait désormais et qu’elle admire : le cuisinier Jean Imbert, l’ami des stars tel que Robert de Niro par exemple qu’elle avait rencontré l’an dernier dans son nouveau restaurant “Chez Mamie” et l’artiste JR, l’ami de son idole Agnès Varda, qui avait photographié Madonna pour le New York Times magazine en 2019. Il se sont retrouvés à nouveau pour déjeuner “Chez Mamie”, mardi 3 mars, entourés de Omar Sy, de Mouloud Achour, de Ludivine Sagnier, 3 autres personnalités aux dimensions internationales.


MADONNA & BRAHIM ZEIBAT

Pour finir sur une touche romantique, une love story française ! En 2010, Madonna tombe sous le charme d’un jeune danseur français de 25 ans : Brahim Zeibat, lors de la campagne de promotion de la ligne de vêtements de la star : “Material Girl” chez Macy’s à New York, où il danse aux côtés de Lourdes, la fille de Madonna. Entre la chanteuse et le danseur, 3 ans d’histoire d’un amour plutôt discret et d’une collaboration artistique qui les fait partager la scène du mythique Super Bowl et celles de la tournée “MDNA” autour du du monde.

Réalisé par Gregory Guyot


Oeuvre : “Legend” (1995) par Pierre et Gilles (DR) // Crédit photos : Madonna live 2009, 2012, 2015 par Gregory Guyot (DR / JSM) // Photos promo Madame X (DR / Polydor / Universal Music)


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