MARC LAVOINE

de A à Z

Décidément, Marc Lavoine est sur tous les fronts ! Alors qu’il vient d’intégrer l’équipe de coaches de The Voice, une compilation 3CD, « Morceaux d’amour », regroupant ses plus grands tubes en studio et en live, augmentés d’inédits et de duos rares sortira le 1er novembre. Pour couronner le tout, son conte musical « Les souliers rouges » sera enfin porté sur scène aux Folies Bergère à partir du 31 janvier 2020, avec Loryn Nounay, Benjamin Siksou et Guilhem Valayé, entourés de danseurs… Autant de bonnes raisons pour dresser le portrait du dandy de la chanson française, de A jusqu’à Z…

A comme Aboulker, Fabrice : le compositeur de ses premiers succès (« Pour une biguine avec toi », « Elle a les yeux revolver », « Le parking des anges », « Même si », « C’est la vie », « Rue Fontaine », « Paris »…) . Il compose en 2016 l’album « Les souliers rouges », sur lequel Marc chante avec Coeur de Pirate et Arthur H.

B comme Bambou, la dernière compagne de Serge Gainsbourg, avec laquelle il chante « Dis moi que l’amour » en 2003.  

C comme Casanave, Christophe : l’autre grand compositeur des tubes de Lavoine, dans les années 2000 (« Toi mon amour », « La grande amour », « Je descends du singe »…). Il est aussi le compositeur et producteur de la chanteuse Najoua Belyzel, avec laquelle Lavoine chante « Viola » sur l’album «Au féminin » en 2009.

D comme Duos : Marc est assurément un des artistes de sa génération ayant enregistré le plus de duos, de Juliette Gréco à Valérie Lemercier, Julie Depardieu, Florent Pagny et même Dalida en virtuel, au point qu’ils ont constitué une compilation en 2007, « Les duos de Marc ». Clara Luciani, ou Gaëtan Roussel viennent de s’ajouter à la longue liste des artistes ayant chanté avec lui, sur la compil’ « Morceaux d’amour ».

E comme Esposito, Marc : l’ancien rédacteur en chef du magazine Studio, passé à la réalisation, lui confie un des ses rôles les plus populaires au cinéma, celui d’Alex dans « Le coeur des hommes » (1,2 et 3).

F comme Ferrat, Jean : pour son répertoire et ses combats politiques, c’est une des références artistiques de Lavoine, qui lui rend hommage en reprenant « Camarade » sur l’album collectif « Des airs de liberté » en 2015.

G comme « Gena and John » : son duo avec son ami Gérard Darmon, sur l’album « On s’aime » (2008) de celui-ci, en hommage au couple légendaire Gena Rowlands et John Cassavetes.

H comme Hallyday, Johnny : un de ses multiples interprètes, pour lequel il signe « je n’ai jamais pleuré » en 2002.

I comme Illéttrisme : très engagé dans la lutte contre l’illétrisme, il multiplie avec son frère Francis les actions favorisant l’éducation au sein de structures et associations diverses.

J comme « Je n’sais plus trop de quoi j’ai l’air » : son tout premier 45 tours en 1983, qui ne rencontre pas le succès.

K comme « Kung Fu Panda » : en 2008, Marc prête sa voix au personnage Tai Lung dans le film de Dreamworks.

L comme Lucien : son papa, employé aux PTT (alors que sa maman Micheline Collin, est secrétaire), dont l’histoire lui inspire son premier roman à succès, « L’homme qui ment », qui devrait être porté à l’écran.

M comme Marocco, Cristina : sa partenaire sur le tube « J’ai tout oublié », un de ses plus grands succès, numéro 1 des ventes en 2001.

N comme « Nathan » : le titre de la chanson très touchante sur le thème de l’autisme, écrite pour Calogero en 2009 sur l’album « L’embellie ».

O comme Olympia : la salle mythique du Boulevard des Capucines, où il démarre comme ouvreur en 1979 et rencontre son ami Gérard Darmon, avant de s’y produire plus tard comme chanteur.

P comme « Pause café » : la série télé culte des années 80, avec Véronique Jannot, dans laquelle il fait ses premiers pas de comédien.

Q comme Québec : il y devient populaire dès 1990 grâce à la chanteuse Martine St-Clair, pour laquelle il écrit l’album « Caribou », contenant le tube « Lavez lavez ».

R comme Ringer, Catherine : Lavoine casse son image de chanteur romantique, en interprétant « Qu’est ce que t’es belle » avec la chanteuse des Rita Mitsouko, clippé par Philippe Gautier qui rencontre un vif succès. Des années plus tard, la chanson est adaptée par Clara Luciani et Katerine, et devient « Qu’est ce que t’es beau ».

S comme Sarah (Poniatowski Lavoine) : son ex épouse et la mère de ses trois plus jeunes enfants, décoratrice et styliste renommée, dont il est aujourd’hui séparé.

T comme « Toutes mes excuses (chère amie) » : une de ses plus belles chansons, figurant sur l’album « Les amours du dimanche » en 1990, et souvent reprise depuis, notamment par Françoise Hardy.

U comme « Une nuit sur son épaule » : un de ses plus jolis duos avec Véronique Sanson, sur l’album « Comme ils l’imaginent », enregistré en Live aux Francofolies de la Rochelle en 1995.

V comme Voice (the) : il intègre le Jury de la nouvelle édition de l’émission de radio-crochet, le 30 août, aux côtés de Pascal Obispo, Lara Fabian et Amel Bent.

W comme Wissous : né le 6 août 1962 à Longjumeau, Marc grandit à Wissous, commune de l’Essonne, dans laquelle il passe sa jeunesse. Il fait ensuite ses études au collège de Chilly-Mazarin, qu’il quitte à 15 ans, pour rentrer dans une école d’arts appliqués, section imprimerie, de la rue Madame à Paris.

X comme XX ou XY (chromosome) : alors que ses consoeurs émergeant dans les années 80 empruntent des prénoms ou pseudos de garçons de Jil Caplan, à Enzo Enzo ou Viktor Lazlo, Marc joue souvent de son physique androgyne à ses débuts, au point d’oser apparaitre habillé en femme et le crâne rasé lors de son premier concert parisien, à La Cigale en novembre 1987.  

Y comme Yasmine : le prénom de sa fille, avec laquelle il chante « Lentement » sur l’album « Volume 10 » (2009).

Z comme Zazie : les deux artistes ont souvent l’occasion de chanter ensemble, en collectif (sur les Enfoirés notamment), ou en duo comme récemment « Qu’est-ce que t’es belle » pour l’émission Taratata.

Réalisé par Eric Chemouny

N.B : en tournée dans toute la France et les 25 et 26 juin 2020 à Paris, salle Pleyel

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